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Oren Ichii

Oren Ichii

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Nom complet Oren Ichii
Surnom(s) Oni
Biographie
Date de naissance 19/12/1996
Date de décès /
Sexe F
Statut Vivante
Origine  Liberty City
Numéro de téléphone /
Parenté Hajime Ichii (père)
Amara Sato-Ichii (mère)
Carrière
Métier actuel /
Anciens métiers Sergent I au LCPD 
Groupe actuel /
Anciens groupes /
HRP
Joué(e) par Krustycc
VOD Youtube /

Origines

Oren Ichii a grandi à Liberty City, une métropole sans pitié où elle a appris très tôt à naviguer dans un environnement marqué par les tensions sociales et la criminalité. Enfant unique d’un père enquêteur au LCPD et d’une mère américaine d’origine japonaise souffrant de schizophrénie, Oren a dû développer rapidement une force intérieure pour faire face aux épreuves de la vie.

À seulement huit ans, sa vie a été bouleversée lorsqu’elle a assisté à l’assassinat de son père par un gang notoire. Ce traumatisme, combiné à l’instabilité mentale de sa mère, a forgé en Oren une détermination inébranlable à poursuivre l’héritage paternel en intégrant le Liberty City Police Department (LCPD).

Une carrière prometteuse écourtée par le sexisme :

Oren s’est rapidement distinguée au sein du LCPD, atteignant le grade de sergeant I grâce à ses compétences et son éthique de travail irréprochable. Cependant, son ascension n’a pas été sans obstacles. Ses ambitions se sont heurtées à une hiérarchie marquée par des comportements sexistes et rétrogrades. Après avoir subi des propos dégradants et un manque de soutien de la part de ses supérieurs, Oren a pris la décision de quitter le département, refusant de tolérer un environnement qui allait à l’encontre de ses valeurs.


Aventure à Los Santos

Oren Ichii est arrivée à Los Santos en Décembre 2024.

Cherchant un nouveau départ, Oren a décidé de s’installer à Los Santos, ville emblématique des secondes chances et des nouveaux horizons. Rêvant de rejoindre le Los Santos Police Department (LSPD), elle a été confrontée à une déception : les recrutements étaient temporairement fermés. Refusant de laisser ce contretemps l’arrêter, elle a exploré une autre voie en postulant comme EMS (Emergency Medical Services).

Pour Oren, intégrer les services médicaux représentait bien plus qu’un simple compromis. Elle voyait cette expérience comme une opportunité d’élargir ses compétences, de renforcer sa compréhension des besoins des citoyens, et de compléter sa vocation de service à la communauté.

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La section suivante aborde en détail {X}, si ce sujet est sensible pour vous, nous vous invitons à ne pas lire cette section.

Un traumatisme fondateur : l’assassinat de son père

La vie d’Oren Ichii a basculé à l’âge de huit ans lorsqu’elle a été témoin du meurtre brutal de son père, un enquêteur respecté du LCPD. Cette tragédie, orchestrée par un gang en représailles à une enquête en cours, a laissé une marque indélébile sur la jeune fille. Ce jour-là, elle a découvert, de la manière la plus cruelle, l’impuissance face à la violence.

L’événement n’a pas seulement bouleversé son enfance ; il a également façonné sa manière d’interagir avec le monde. Portant en elle une peur constante de l’échec, elle s’est construite sur un équilibre précaire entre timidité et une détermination brûlante d’exprimer ses convictions.

Une enfance marquée par l’instabilité

Après la perte de son père, Oren a grandi dans un foyer instable avec une mère souffrant de schizophrénie. Ce contexte familial difficile a renforcé son caractère timide et réservé, mais aussi un fort besoin de défendre ses idées.

Si elle préférait autrefois éviter les conflits pour préserver une paix fragile à la maison, Oren n’a jamais su réprimer complètement son tempérament franc. À mesure qu’elle grandissait, elle développait une tendance presque irrépressible à dire ce qu’elle pense, quitte à risquer de blesser ou de choquer. Cette dualité la rendait parfois maladroite dans ses interactions, oscillant entre des moments de retrait et des éclats de franchise impulsifs.

Une personnalité paradoxale : timidité et tempérament explosif

Bien qu’Oren soit naturellement réservée, elle est incapable de retenir ses émotions ou ses opinions lorsque celles-ci deviennent trop intenses. Sa maladresse sociale, combinée à cette franchise brutale, la place souvent dans des situations délicates. Elle peut hésiter longuement avant de parler, craignant de dire quelque chose de mal, mais une fois qu’elle commence, il lui est impossible de s’arrêter.

Sa peur de mal faire, profondément enracinée dans son passé, est contrebalancée par une honnêteté désarmante qui surprend ceux qui ne la connaissent pas bien. Lorsqu’une situation lui semble injuste ou qu’elle est submergée par ses émotions, Oren parle sans filtre, parfois au détriment de l’atmosphère autour d’elle.

Une peur omniprésente de l’échec

Malgré son fort caractère, Oren reste hantée par la peur de mal faire. Elle réfléchit souvent longuement avant d’agir, analysant chaque détail pour éviter toute erreur. Ce perfectionnisme, hérité de son besoin d’assurer un semblant de contrôle dans une enfance chaotique, la pousse à se surpasser dans tout ce qu’elle entreprend.

Cependant, ses accès de franchise contredisent parfois cette prudence. Dans des moments de tension, elle peut lâcher des vérités abruptes qui trahissent son souci constant de ne pas décevoir. Ce contraste entre sa timidité initiale et son impulsivité verbale la rend aussi imprévisible qu’attachante.

Une âme à la fois douce et intrépide

Malgré ces contradictions, Oren est profondément empathique et dévouée. Si ses paroles peuvent parfois paraître dures, elles reflètent toujours une sincérité brute et une volonté d’aider. Elle lutte chaque jour contre ses propres insécurités, mais n’hésite jamais à défendre ce qu’elle estime juste.

Sa maladresse et son franc-parler sont les marques d’une personnalité complexe, façonnée par un passé douloureux et une force intérieure exceptionnelle. Ceux qui apprennent à la connaître découvrent une femme loyale, passionnée, et inébranlable dans ses convictions, même si elle vacille parfois dans ses propres doutes.



Anecdotes

  • Un fumigène mal placé : Durant ses premiers jours en tant que cadet, Oren était déterminée à faire ses preuves. Lors d'une mission de nettoyage de graffitis dans un quartier sensible, elle s’est trompée de matériel. Pensant pulvériser le produit pour effacer les tags, elle a accidentellement dégoupillé un fumigène. La rue s’est rapidement retrouvée noyée sous une épaisse fumée, provoquant un mélange de confusion et de fous rires parmi ses collègues. Depuis, cette bourde est devenue une blague récurrente au sein du poste de police.
  • Le tazer… et la voiture : Lorsqu’elle était encore en formation, Oren a tenté d’interpeller un suspect en fuite. Avec une voix ferme mais légèrement hésitante, elle a averti l’individu qu’il devait s’arrêter sous peine d’être "tazé". Le suspect, visiblement peu impressionné, a pris ses jambes à son cou. Déterminée à poursuivre, Oren s’est lancée à sa poursuite, mais n’a pas vu arriver une voiture. Elle a été percutée légèrement, heureusement sans gravité, mais la scène est devenue légendaire dans son service, où on l’appelle parfois avec humour "Tazer Girl".
  • Une aversion pour le volant La conduite et Oren, c’est une histoire compliquée. Dès ses débuts, elle a montré un certain "talent" pour percuter des trottoirs, des poteaux, et même des poubelles. Une fois promue officier II, elle a habilement esquivé le rôle de conducteur lors des patrouilles. Grâce à des justifications aussi variées que sa prétendue fatigue ou sa "volonté de mieux observer l’environnement en passager", elle a toujours réussi à céder les clés à un collègue.
  • La bureaucrate de choc 

    Si Oren n’était pas à l’aise derrière un volant, elle excellait dans les tâches administratives. Leader de la Recruitment and Employed Division et co-leader de la Negotiator Unit au LCPD, elle a complètement remanié les procédures du département. Elle a créé et révisé de nombreux documents essentiels, transformant des manuels obsolètes en outils modernes et clairs.

    Mais sa plus grande fierté reste ses films pédagogiques. Ces courts-métrages, à la fois éducatifs et engageants, sont devenus des références pour les cadets et officiers. Certains disent même qu’elle a rendu la bureaucratie "presque cool".

     

Citations

- "Je ne suis pas parfaite, mais je suis honnête. Et dans ce monde, ça vaut de l’or."

Galerie

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