Julien Petit

Origines

Elvis, Bruce, Ernest, Pelicano naît à Vice City en 1988 au sein d’une famille composée du père Ricardo, la mère Suzanne, la sœur Stacey et le frère Diego. hautement impliquée dans la pègre locale. Comme une évidence, il commence une carrière prolifique dans le crime organisé, tantôt dans le vol de véhicules de luxe, le blanchiment d’argent ou le trafic de drogues. Ayant ça dans le sang, Elvis monte rapidement les échelons et devient le bras droit du Big Boss, son conseiller, son homme de confiance. Un jour, alors qu’il rentre à Vice City après un voyage à Liberty City où le Big Boss l’avait envoyé pour sceller un deal important afin d’étendre sa zone d’influence, Elvis a un mauvais pressentiment lorsque son frère Diego ne vient pas le chercher à l’aéroport comme prévu. Après un trajet en taxi long et stressant, Elvis arrive devant la grande maison luxueuse de ses parents. Le mauvais pressentiment s’avère prémonitoire lorsqu’il pousse la porte fracturée et déjà entrouverte. A l’intérieur, une véritable scène de chaos se fige devant ses yeux. Des meubles renversés, brisés, un désordre sans nom emplit l’espace. Quand le regard d’Elvis se pose tout autour de lui, il voit que des traces de sang semblent mener jusqu’au premier étage. C’est alors qu’en montant les escaliers, dans un silence assourdissant lui brouillant la vision, les dents serrées en sachant ce qu’il allait trouver, Elvis découvre ses parents, son frère et sa sœur massacrés, chacun présentant d’affreuses coupures sur tout le corps et tous semblant avoir été achevés d’une balle dans la tête. Terrassé par la peine et la douleur, Elvis s’effondre et perd connaissance après avoir composé tant bien que mal le numéro du Big Boss qui envoya une équipe le récupérer.

Lorsqu’Elvis revient à lui, il est dans la salle où se retrouvent les cadres de l’organisation pour les réunions importantes. Le salon sombre est éclairé par la lueur tamisée d'une seule lampe suspendue au plafond, jetant des ombres dansantes sur les visages tendus des hommes assis autour de la table en bois massif. L'atmosphère est chargée de tension, les murmures étouffés des hommes en costume résonnant comme un prélude à la trahison imminente. Au bout de la table, le Big Boss, le patriarche respecté de la famille mafieuse, fixe d'un regard perçant son homme de confiance, Elvis. Les deux hommes avaient partagé des décennies de loyauté et de fraternité dans le monde sombre de la criminalité organisée. Cependant, quelque chose avait changé. Une froideur s'était installée entre eux, une fissure qui menaçait de déchirer les liens forgés dans le sang et l'acier. Les membres de la famille, assis en silence, attendent avec une inquiétude palpable, réalisant que quelque chose de sinistre se tramait. Le Big Boss, apparemment calme, prit une bouffée de son cigare, laissant échapper la fumée dans cette atmosphère lourde et pesante puis déclara “Je suis désolé Elvis, mais je n’avais pas le choix. Ricardo et Suzanne ont joué, ils ont perdu.” Puis le Big Boss expliqua à Elvis que ses parents étaient en train de détourner une part importante des recettes générées par l’organisation et qu’ils revendaient des informations à la concurrence. Quant à son frère et sa sœur, des “dégâts collatéraux”... Elvis n’arrive pas à réaliser, c’est trop lourd, trop improbable, si soudain et inexplicable. Les yeux d’Elvis se rétrécissent légèrement, détectant le venin derrière les paroles soigneusement choisies du Big Boss. Les mains des hommes autour de la table se crispent instinctivement sur les revolvers dissimulés sous leurs vestes. Elvis a compris, le Big Boss a compris qu’il a compris, mais les deux hommes se taisent et se toisent, un silence non brisé vaut mieux qu’une vérité destructrice.

Les semaines passent et Elvis gère tant bien que mal le deuil et le choc. Le Big Boss lui propose alors de se mettre au vert en quittant Vice City pour penser à autre chose. Pour Elvis, c’est l’occasion de se libérer l’esprit de toutes ces questions qui lui rongent le cerveau jour et nuit. Le Big Boss lui avait-il dit la vérité ? Ses parents ont-ils vraiment trahi l’organisation ?

Welcome to Los Santos

C’est ainsi qu’Elvis dépose ses valises à Los Santos il y a une quinzaine d’années pour tenter d’oublier le passé, supporter le présent et construire le futur. Tantôt boucher, tantôt bûcheron, c’est bien sympa tout ça mais ça ne rapporte pas grand chose et l’ennui d’une vie si terne commence à laisser des traces. Au fil de ses pérégrinations, Elvis rencontre les deux types qui deviendront ses acolytes pour les nouvelles aventures qu’il allait vivre. Avec John Staunch et Joseph Ward, deux naufragés de la vie comme lui, ils se mettent à revêtir des joggings un peu flashy en guise de signe de ralliement. C’est ainsi que le trio commence à tremper dans des petits larcins grâce au coup de pouce d’un baron local et de la solide expérience d’Elvis en termes de criminalité. Chemin faisant, les dollars s'amoncellent et l’influence d’Elvis et ses complices s’étend. C’est ainsi qu’ils décident de fonder le gang des Joggers et de coloniser le quartier de Forum Drive. Les années passent et Elvis remise ses démons au second plan tandis que son empire devient sa principale préoccupation. Avec ses deux lieutenants et son gang, ils deviennent incontournables en ce qui concerne le trafic de drogue à LS et ses provinces alentour.

Mais ce genre de vie comporte son lot de risques et de petite main en petite main, de capo en capo, les enquêteurs de la DEA finissent par mettre le grappin sur le business des Joggers. Lors de son interrogatoire, Elvis est confronté à un agent, l’inspecteur Flagstaff, qui semble en savoir beaucoup sur son passé à Vice City. C’est alors que ce dernier lui propose un marché. Faire tomber le Big Boss en échange d’une information capitale sur le massacre de sa famille. Elvis, bouleversé par cette proposition qui réveille en lui une immense douleur, accepte le marché et il est alors avisé que ses parents n’ont pas détourné d’argent ni vendu d’infos à la concurrence. En réalité, ils étaient en cours d’extraction via le programme de protection des témoins lorsqu'ils décidèrent de faire tomber le Big Boss après avoir appris que ce dernier versait clandestinement dans le trafic d’êtres humains, ce qui allait à l’encontre de tous les principes des parents Pelicano. Le Big Boss, grand parano qu’il était, fut mis au courant et c’est ainsi qu’il commandita l’assassinat brutal de la famille Pelicano. Elvis, fou de rage, se fait alors la promesse de venger sa famille, quoiqu'il en coûte. Le Big Boss l’avait trahi.

Back to VC

De retour à Vice City, undercover, Elvis mène l’enquête pour retrouver le Big Boss et ses salopards de sicarios qui se terrent dans les faubourgs de la ville, se sachant traqués par la DEA. Et c’est ainsi qu’il suit la piste de celui qui est désormais son pire ennemi, son Most Wanted, son nemesis. Elvis commence par s’infiltrer dans le bunker du Big Boss en éliminant silencieusement les quelques gardes qui restaient puis tomba nez-à-nez avec le Big Boss, affalé sur un genre de large trône composé de matelas et de coussins. Dans le coin de la salle, une jeune femme était enchaînée à un mur tandis que 2 autres personnes semblaient terrorisées au fond d’une cage. “Elvis, tu es là mon fils, quel plaisir de te rev…” *BANG!* Sans que le Big Boss puisse terminer sa phrase, ce dernier se voit contraint au silence lorsque son cerveau fut grillé par une ogive tout droit sortie du .357 Magnum qu’Elvis dégaina en une fraction de seconde. Le canon du revolver encore fumant, Elvis le replace dans son holster et vient au secours des captifs. Les agents de la DEA, informés, se rendent sur les lieux et l’inspecteur Flagstaff lance un regard entendu à Elvis lui faisant comprendre qu’il ferait mieux de quitter les lieux et de se faire oublier pendant un moment.

Back to LS

Le cœur à jamais meurtri mais au moins soulagé du poids de la vengeance, Elvis comprit qu’il n’avait plus rien à faire à Vice City et décida de prendre un nouveau billet pour Los Santos. Débarqué en septembre 2023, il se met en tête de retrouver Ward et Staunch, mais ces derniers demeurent introuvables, de même que le quartier de Forum Drive qui semble déserté par ses anciens compagnons d’infortune.

Premiers jobs

Pour commencer à gagner sa vie, Elvis choisit donc de passer par des moyens plus conventionnels et commence par récolter du fer pour le OTTO’s. Puis, cherchant un peu plus de stabilité, il postule à LS Taxi Cab où il profite du calme que lui confère son taxi pour faire le point et penser à ce qu’il souhaite vraiment dans sa nouvelle vie. Il sent qu’il a besoin d’être stimulé, de s’intégrer dans une équipe et de collaborer avec des gens normaux. Il a alors l’idée de postuler dans une autre entreprise, a priori loin de ses centres d’intérêt, mais pour laquelle le mystère de la profession stimule chez lui un attrait particulier.

Life Invader

Elvis rencontre donc Jason SaintClair afin de passer son entretien d’embauche. Chaque réponse d’Elvis semble faire mouche chez son interlocuteur et il est embauché sur le champ. C’est alors qu’Elvis devient pigiste, puis rapidement journaliste, crée sa rubrique culturelle de la semaine où il livre résumés et analyses d’œuvres littéraires ayant marqué sa vie, jusqu’au jour où la censure s’abattit et qu’Elvis dû rétracter un article. C’est alors qu’une autre rubrique est née, le Love Santos, simple courrier du cœur anonyme déjà responsable de quelques unions dans tout l’Etat de Cali. Quelque temps plus tard, après un bref passage en tant que Rédacteur, Elvis se voit proposer le poste de Rédacteur en Chef qu’il accepte avec honneur et fierté. Passer de cadre de la mafia à parrain de la drogue puis par justicier vengeur pour finir en respectable journaliste, la vie d’Elvis semble enfin se stabiliser et il peut en finir avec son encombrant passé pour couler des jours plus tranquilles. Puis, sous la houlette de Gigi Rojes, Elvis s’implique dans le label Life records en tant que manager et parolier de Gigi dans l’objectif de faire d’elle une star internationale dans un premier temps, puis interplanétaire si tout se passe comme prévu.

Vie privée

Plutôt discret sur cet aspect de sa vie, Elvis aspire aujourd’hui à vivre une relation équilibrée avec une femme passionnée par la photographie par exemple.

Anecdotes

• Un jour, Elvis a envoyé un message compromettant à une membre du gang AoD en pensant l’envoyer à une autre personne.

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  Un autre jour, Elvis a envoyé un message très compromettant à son crush en pensant l’envoyer à une autre personne.

• Elvis a gagné 2 fois le blind test du CKC en 2 participations.

• Quand Elvis est né, il portait déjà la banane.

Citations

“Elvis, fils de personne, frère de beaucoup.”

“Je lui tourne autour autant qu’elle me tourne autour, tout à l’heure elle était à côté de moi comme ça et elle m’a touché le p’tit doigt. On était côte-à-côte, elle m’a touché le p’tit doigt.”

Galerie

Elvis et Jean reproduisant la choragraphie de Thriller au Refuge du Noctambule	Soirée 80s au UWU